Le Royaume de Belgique Pays invité d’honneur du Festival International Cinéma et Migrations
Les relations entre le Maroc et la Belgique connaissent un saut qualitatif à tous les niveaux, à la faveur de l’intensité des échanges culturels et humains et de la forte volonté politique d’en hisser davantage le niveau,
L’histoire des liens forts entre le Maroc et la Belgique, qui ne cessent de se renforcer grâce aux intenses échanges culturels et humains et à la volonté affirmée des responsables des deux pays de les hisser à des niveaux supérieurs.
Le catalyseur de cette relation historique privilégiée est l’existence de nombreuses similitudes entre le Maroc et la Belgique, qui constituent un carrefour culturel, humain et économique, et recèlent une riche diversité culturelle, renforcé par la nature de leur système politique de monarchie constitutionnelle et leur diplomatie modérée et équilibrée.
Né à Meknès, il suit une formation théâtrale à l’Institut supérieur d’art dramatique et d’animation culturelle (SADAC) de Rabat de 1990 à 1994. En tournée à Strasbourg avec la pièce (Le Collier des ruses), il se fait remarquer et décroche une bourse d’études au Conservatoire national supérieur d’art dramatique (CNSAD) de Paris d’où il sort licencier en 1996. Il part ensuite en Jordanie et en Égypte, toujours pour apprendre son métier d’acteur, fait un détour par la Suède au théâtre d’Angered à Göteborg, puis au Théâtre dramatique royal de Stockholm.
Dès le milieu des années 1990, Driss Roukhe apparaît dans de nombreux films marocains et internationaux, on le voit notamment dans (Et après ?) de Mohamed Ismail, (Le Regard) et (Casanegra) de Nour-Ed-dine Lakhmari, (L’Enfant cheikh) de Hamid Bénani, (Aïda) de Driss Mrini ou (La Marche verte) de Youssef Britel. Il tourne pour des réalisateurs français comme Laurent Heynemann, Jean-Jacques Annaud et Philippe Haïm, et pour l’allemand Michael Dreher.
Également acteur dans des productions américaines, il est le partenaire, entre autres, de George Clooney dans (Syriana), Brad Pitt et Cate Blanchett dans (Babel) et Matt Damon dans (Green Zone). Il acquiert une grande popularité dans son pays entant qu’acteur en jouant dans des séries comme (Koulha Yalghi Belghah), (Maria Nassar) et (Les Filles de Lalla Mennana) et entant que réalisateur il a excellé à travers les séries (kayna dourouf) et (bnat laassass).
Mohamed Miftah né en 1947 à el Hay el Mohammedi,
à Casablanca), est un acteur marocain. Véritable
touche-à-tout, il a fait du théâtre, de la télévision, du
cinéma. Il a joué aussi bien dans des productions
nationales que dans des productions étrangères.
Très jeune Mohamed Miftah vit un événement
tragique. Sa mère est abattue par les Français en
pleine manifestation du 20 août 1953 avec son fils
dans les bras.
Il grandira sous la houlette d’une belle-mère qui lui a
prodigué tout l’amour dont il avait besoin. Vers la fin
des années 1950, Mohamed Miftah découvre la
passion des planches. À la maison des jeunes de Hay
Mohammedi il jouera et mettra en scène des pièces
de théâtre comme « Le coffre », « Karkour sidna
Cheikh »…
Vers la moitié des années 1960 la télévision marocaine est à ses balbutiements. Mohamed Miftah fera
partie des premiers acteurs des fictions télévisées.
Il jouera dans Al Moutarada de Ahmed Haïdar et collaborera avec d’autres réalisateurs comme Chakib Ben
Omar, Mohamed Lotfi, etc. et dernièrement avec
Daoud Aoulad Sayed dans Un week-end à Larache
(film produit par 2M).